L’Est le relate ce matin dans ses colonnes, la maison de quartier Jean Jaurès a du faire face à une démission collective de sa présidente et de dix administrateurs sur douze.
Il y avait des soucis à régler en particulier au niveau financier et un rendez-vous avait été demandé en mairie. Seulement voilà il a fallu 10 semaines pour en obtenir un.
Alors l’équipe dirigeante a préféré se démettre incapable de pouvoir gérer une crise sans l’appui de son principal financeur. Ne pas pouvoir obtenir un rendez-vous alors qu’il y a urgence, je vous laisse imaginer mon incompréhension devant une telle attitude de la municipalité.
Ce n’est pas la première fois que j’entends parler de ce problème et l’on m’a plusieurs fois alerté sur la quasi impossibilité de rencontrer Etienne Butzbach.
La seule possibilité de lui faire part d’une doléance ou d’une remarque c’est de le croiser dans la rue en espérant qu’il soit de bonne humeur. Mr le maire n’assure aucune permanence pour permettre à ses administrés de le rencontrer et contrairement à la plupart des premiers magistrats il ne met pas son agenda en ligne. Personne ne sait où il est et ce qu’il entreprend pour notre ville. Un maire aussi inaccessible ne peut pas ressentir les préoccupations de ses administrés. Je l’invite donc à organiser une permanence régulière pour être plus au fait des problèmes que peuvent rencontrer les belfortains. Grâce à ces rencontres il comprendra peut-être que la politique qu’il mène nous conduit à la catastrophe. Lui seul à Belfort ne s’en est pas encore aperçu…
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