Pression inadmissible sur les sous-traitants (obligés de réduire leurs prix de 20%), quasi-abandon de la localisation d’une activité aéronautique à Belfort, accélération du transfert d’une partie d’activités en Hongrie et en Arabie Saoudite, inertie du comité Maugis : plusieurs nuages planent encore sur l’usine GE de Belfort, alors que le marché mondial de l’énergie est reparti.
Autant de dossiers sur lesquels je me mobilise, en tant que député européen de Belfort.
Vice-coordinateur de la Commission Industrie et Energie au Parlement européen, je suis avec attention la situation de General Electric de Belfort, à l’heure où la crise du CoronaVirus pourrait remettre en cause des engagements pris par l’entreprise en 2019.
J'ai interpellé les ministres Bruno LeMaire et Agnes Pannier-Runacher, ainsi que le commissaire européen Thierry Breton. Vous trouverez en pièce jointe le courrier que j'ai envoyé à Bruno LeMaire, courrier qui fait un point complet sur les différents éléments d’actualité.
En conclusion, j'estime que « la crise sanitaire ne doit pas être un prétexte pour remettre en cause des engagements pris dans le cadre du PSE en juillet 2019. La reprise du marché de l’énergie est là, les projets d’avenir sont nombreux, tant au niveau français qu’européen : c’est le moment de pérenniser l’emploi et les compétences à Belfort.
PJ : courrier à Bruno LeMaire
Téléchargement 2020.05.01 - Courrier BLM GE Belfort
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